L’homme sans bras

opéra forain

A propos

"L’Homme sans bras est né de la collision de deux genres aussi désuets que réjouissants : l’opérette et le Grand Guignol. C’est l’idée théâtrale que nous nous faisons de la joie. C’est aussi un hymne d’amour aux méchants" dit Thomas Canonne, auteur du livret et metteur en scène du théâtre des cerises. L’Homme sans bras est une variation sur l’argument d’un moyen métrage (50 min muet, noir et blanc) réalisé par Tod Browning en 1927 : The Unknown.
Alonzo, dit « L’Homme sans bras », lance des couteaux avec ses pieds dans un petit cirque gitan de la banlieue de Madrid. Secrètement épris de Nanon, la fille du directeur, il en a fait son assistante. Inconsciemment traumatisée par d’anciens abus paternels, Nanon refuse tout contact avec les mains des hommes et trouve par conséquent en Alonzo l’ami et le confident idéal. Elle se laisse toutefois peu à peu courtiser par Malabar, dit « Le Colosse », son éternel soupirant. Pendant ce temps, l’orchestre du cirque, sans salaire depuis trois mois, tente une reconversion lyrique. Son credo : « l’opéra ou ne sera pas ».

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